Devant le lobbying Pro-Diesel et la propagation de fake news relatives à sa non pollution : un collectif de médecins, chercheurs, associations spécialistes de la pollution atmosphérique et du changement climatique s’est créé en Décembre 2018.
Val-de-Marne en Transition soutient ce collectif car la qualité de l’air, la santé et le climat sont tous les trois à préserver.
Alors que les gilets jaune protestent pour leur pouvoir d’achat immédiat, une 3ème marche pour le climat souligne la nécessité de prendre des mesures efficaces pour éviter des coûts humains et financiers énormes liés au dérèglement climatique dans l’avenir.
Nous avons créé une banderole spéciale pour proposer à tous de se lancer dans une initiative locale sans attendre :
C’était aussi le moyen de nous retrouver en plus de la belle marguerite de Josée qui a maintenant les logos des différentes initiatives du Val-de-Marne et d’Ile-de-France sur chacun des ses pétales.
Elle se trouvait lors de la 2ème Marche dans un article de Libération.fr écrit par Cyril Dion :
L’UPEDD a choisi comme thème le 17 octobre 2017 « Transformation écologique personnelle et sociale »
Val de Marne en Transition et Ressourcerie La mine, deux initiatives citoyennes qui organisent la solidarité et les modes vies durables au niveau local. Rencontre avec Jean Paul Grange et Régis Pio.
Jean-Paul Grange représentant de « Sucy Environnement et Transition » et de « Val-de-Marne en Transition » expose en détail ce qu’est le Mouvement des « Villes et Territoires en Transition » dans la première partie.
Jean-Paul Grange (Sucy-en-Brie) au centre est entouré de Regis Pio à gauche (Fontenay-sous-Bois) responsable de Fontenay en Transition et de la ressourcerie « La Mine » se trouvant à Arcueil et Simon Burkovick à droite (Arcueil) responsable de Arcueil en Transition. Dans le vidéo, sur la droite de l’écran se trouve Christian METAIRIE, maire d’Arcueil et vice-président du Conseil Départemental du 94, chargé du développement durable et de la transition énergétique.
La vidéo est assez longue mais l’exposé du début par Jean-Paul sur les « Villes et Territoires en Transition » donne une vue claire du mouvement local et dans le monde. L’intervention de Régis donne un éclairage certain et vivant et Jean-Paul donne une description des actions locales et de la nécessité d’une Transition Intérieure. Régis nous parle enfin de la ressourcerie « La Mine » qu’il anime tous les jours. Une action concrète totalement dans l’esprit de la Transition (pas de déchet, pas de consommation, du pouvoir d’achat redonné).
Retrouvez la fiche très documentée de l’UPEDD sur le sujet : lien
Le diesel, encouragé par l’Etat, les constructeurs automobiles européens et l’industrie pétrolière depuis plusieurs décennies, a atteint une telle proportion qu’il a envahi tout l’espace public, urbain et rural.
Décliné depuis les années 90 et 2000 sous de multiples appellations, DCI, HDI, TDI, TDCI, DTI…, son caractère outrancier, son usage inadapté sur de courts trajets, associés à son dérèglement et son mauvais vieillissement, rendent sa fréquentation insupportable pour les citoyens des villes, petites, moyennes ou grandes.
Où que vous soyez en France, piéton, cycliste ou automobiliste, qu’il vous précède ou vous dépasse, vous l’entendrez avec son claquement et son grondement caractéristiques, verrez ses volutes de fumées et le sentirez. L’odeur très forte et étendue qui s’en dégage est d’ailleurs son principal désagrément.
Problème de taille : ses rejets sont à la fois très toxiques (PM, HAP cancérogènes certains, NOX…) et mauvais pour le climat (N2O, NO2, PM, black Carbon suie…).
Chaque utilisateur de ce moteur, même le plus moderne, devient à la fois pollueur en viciant l’air et en dégradant son environnement, et victime en tant qu’être humain, consommateur, agent économique, contribuable…
Inutile de préciser qu’un outil de mobilité aussi nuisible pour l’Homme devrait être interdit et retiré de la circulation et de la vente, à l’instar d’un produit alimentaire impropre à la consommation.
L’atelier SET – Energie Propre (responsable : Guillaume Muller) s’intéresse particulièrement à la pollution de l’air, notamment celle générée par les véhicules diesel, et propose des solutions alternatives.
Nous sommes en contact avec les associations spécialisées comme Strasbourg Respire. Voici un exposé détaillé sur la nocivité de la pollution de l’air par Thomas Bourdrel.
Pour une société post carbone, post croissance et bienveillante